Ils ont entre vingt et trente-cinq ans. En Équateur, la plupart faisaient des études supérieures, tandis que d'autres exerçaient des professions modestes. Comme près de quatre cent mille de leurs compatriotes qui ont immigré en Espagne entre 1999 et 2004, ils occupent des emplois faiblement qualifiés. Pendant ce temps, leurs pairs restés en Équateur fréquentent l'université et briguent un diplôme dont la rentabilité est très incertaine.
Le cadre de l'enquête : l'institution éducative et ses publics
Le scénario familial à l'épreuve de la migration
Étudier, travailler, émigrer. Des choix sous contrainte
Ouvrir le jeu ? Le pari des études dans l'émigration
L'univers du discours
Ils ont entre vingt et trente-cinq ans. En Équateur, la plupart faisaient des études supérieures, tandis que d'autres exerçaient des professions modestes. Comme près de quatre cent mille de leurs compatriotes qui ont immigré en Espagne entre 1999 et 2004, ils occupent des emplois faiblement qualifiés. Pendant ce temps, leurs pairs restés en Équateur fréquentent l'université et briguent un diplôme dont la rentabilité est très incertaine.