"Qui, hormis des bureaucrates incurables, pourrait se fier uniquement à des documents écrits ? Qui sinon des rats d'archives […] ?". Cette violente défiance de Staline à l'égard d'écrits produits par le régime soviétique peut être rappelée grâce à l'ouverture en 1991 des archives, et avant la fermeture de certains fonds en 1992. Les contributions ici présentées, issues du colloque international tenu à l'université de Yale en mai 1997, contribuent au débat sur les richesses offertes par les fonds d'archives soviétiques, et les problèmes, ainsi que les risques, soulevés par leur utilisation.
"Qui, hormis des bureaucrates incurables, pourrait se fier uniquement à des documents écrits ? Qui sinon des rats d'archives […] ?". Cette violente défiance de Staline à l'égard d'écrits produits par le régime soviétique peut être rappelée grâce à l'ouverture en 1991 des archives, et avant la fermeture de certains fonds en 1992. Les contributions ici présentées, issues du colloque international tenu à l'université de Yale en mai 1997, contribuent au débat sur les richesses offertes par les fonds d'archives soviétiques, et les problèmes, ainsi que les risques, soulevés par leur utilisation.