L'histoire quantitative n'est plus à la mode nous dit B. Lepetit dans l'article qui sert d'ouverture à ce numéro : peut-être n'est-ce pas un mal car cela évitera des utilisations non motivées des techniques quantitatives qui sont rappelons-le d'abord un outil (et non une religion ou un signe de reconnaissance). La question qui nous est cependant posée est de voir comment doit être formalisé le rapport entre l'historien et les données auxquelles il a accès : nous saisissons l'ocasion de cet article pour lancer le débat.
L'histoire quantitative n'est plus à la mode nous dit B. Lepetit dans l'article qui sert d'ouverture à ce numéro : peut-être n'est-ce pas un mal car cela évitera des utilisations non motivées des techniques quantitatives qui sont rappelons-le d'abord un outil (et non une religion ou un signe de reconnaissance). La question qui nous est cependant posée est de voir comment doit être formalisé le rapport entre l'historien et les données auxquelles il a accès : nous saisissons l'ocasion de cet article pour lancer le débat.