À partir d'un corpus de vingt-cinq collégiales bâties entre 1450 et 1560, Julien Noblet étudie ces édifices mortuaires et les communautés qui les desservent. Nés de la volonté seigneuriale, ils reflètent les goûts de leurs commanditaires et témoignent de la réaction d'une partie de l'élite face à la démocratisation de l'enterrement à l'intérieur de l'église. Étudiés sous un angle nouveau, ils s'intègrent au cœur des préoccupations de l'homme face à la mort, tentant à la fois de gagner le salut éternel et d'obtenir une sorte d'immortalité terrestre.
La fondation d'une collégiale : assurer son salut, soutenir son rang
La collégiale : une architecture parlante
Des sanctuaires dynastiques
À partir d'un corpus de vingt-cinq collégiales bâties entre 1450 et 1560, Julien Noblet étudie ces édifices mortuaires et les communautés qui les desservent. Nés de la volonté seigneuriale, ils reflètent les goûts de leurs commanditaires et témoignent de la réaction d'une partie de l'élite face à la démocratisation de l'enterrement à l'intérieur de l'église. Étudiés sous un angle nouveau, ils s'intègrent au cœur des préoccupations de l'homme face à la mort, tentant à la fois de gagner le salut éternel et d'obtenir une sorte d'immortalité terrestre.