La conception la plus courante de l'épistémologie, en sémiotique, est celle d'une épistémologie discursive. L'acte sémiotique par excellence étant la "reformulation", la "paraphrase" méta-sémiotique, la réflexion épistémologique prend donc, traditionnellement, pour objet le discours théorique. L'auteur déplace ici l'accent sur le faire : remettant en question une conception réduite à la formulation, il montre que la signification des sémiotiques-objets est fortement déterminée par une palette d'actes beaucoup plus étendue, qu'il examine systématiquement.
La conception la plus courante de l'épistémologie, en sémiotique, est celle d'une épistémologie discursive. L'acte sémiotique par excellence étant la "reformulation", la "paraphrase" méta-sémiotique, la réflexion épistémologique prend donc, traditionnellement, pour objet le discours théorique. L'auteur déplace ici l'accent sur le faire : remettant en question une conception réduite à la formulation, il montre que la signification des sémiotiques-objets est fortement déterminée par une palette d'actes beaucoup plus étendue, qu'il examine systématiquement.